On repousse la calvitie

J’ai l’impression que mes cheveux ont commencé à tomber du jour au lendemain. Ils se sont fait la malle sans crier gare alors que j’avais environ 25 ans. Comme je ne suis pas du genre à me stresser pour rien, je me suis contenté de porter une casquette en me disant que ce n’était pas si grave après tout. Au début, il m’arrivait de retrouver quelques poils ici et là sur mon oreiller ou dans le fond de ma douche, rien de bien inquiétant. Mais mes cheveux ont continué à tomber, ma calvitie s’est intensifiée et j’ai dû me rendre à l’évidence : à trente ans, j’avais le dessus du crâne complètement dégarni.

Je dois avouer que ça m’a déprimé, je me trouvais moins sexy et j’avais peur que ma femme pense la même chose. Après tout, ma fille était encore jeune et ma carrière allait bien, je n’avais pas envie d’avoir l’air plus vieux que mon âge. Pour être honnête, je trouvais ça injuste, je me croyais à l’abri de la calvitie parce que mon père a toujours eu une chevelure bien fournie et j’avais lu quelque part que dans bien des cas, la perte de cheveux est héréditaire. On dirait bien que j’ai perdu à la loterie génétique. Bref, plus les années passaient, plus ma calvitie empirait. Un moment donné, je n’ai plus eu d’autre choix que de me raser le crâne, je refusais d’avoir l’air d’un moine !

Ça fait maintenant quelques années que je me rase le coco et ça commence à me peser. J’ai envie de faire différent et de retrouver mon air rebelle (je me rappelle que ma femme me trouvait irrésistible à cause de lui). J’ai donc décidé de me laisser pousser les cheveux et j’ai remis ma casquette. Après plusieurs recherches sur internet, j’ai constaté que la calvitie est plus répandue que je le croyais. En fait messieurs, plus vous vieillissez, plus vous courrez le risque de perdre du poil de la bête ! J’avoue que c’est rassurant de savoir que je ne suis pas le seul homme dans la trentaine à souffrir d’alopécie (c’est le nom savant pour la calvitie), mais ce qui l’est moins, c’est que je sais que mon problème va continuer de s’intensifier avec le temps. Heureusement, il me reste de l’espoir et je refuse de me comporter comme étant vaincu.

Si, tout comme moi, vous êtes aux prises avec la calvitie, je vous invite à faire vos propres recherches sur internet. Vous allez voir que le monde regorge de faux spécialistes et que les annonceurs rivalisent d’imagination pour vous vendre des produits soi-disant miraculeux. Pour ma part, je suis d’un naturel soupçonneux alors j’ai décidé d’éviter les traitements qui semblent trop beaux pour être vrais et les shampoings révolutionnaires. J’ai tout de même fini par trouver deux produits qui auraient prouvé leur efficacité : le Minoxidil qui vient en lotion et les comprimés de Propecia. J’ai essayé le Minoxidil pendant quelque temps mais je n’ai pas vu de différence et quand j’ai appris que je devrais me masser le crâne à tous les matins pour le restant de ma vie, j’ai laissé tomber le traitement. Quant au Propecia, j’avoue que je n’ai pas osé l’essayer, car il semblerait qu’il a parfois un léger inconvénient ; il peut créer des pannes sexuelles. Entre un crâne dégarni et un manque de vigueur là où ça compte, le choix n’est pas difficile à faire !

J’étais sur le point de me remettre au Minoxidil quand un de mes amis m’a parlé de la Clinique de greffe de cheveux Bédard. Il venait de suivre un traitement de PRP à la clinique et il m’a expliqué à quel point les injections de plasma riche en plaquettes avaient changé sa vie. Il m’a donné le numéro de la Clinique Bédard, spécialiste en chirurgie générale qui fait de la chirurgie esthétique et de la greffe de cheveux depuis une quinzaine d’années. Je me suis dit que tant qu’à faire appel à un spécialiste, aussi bien faire affaire avec un médecin. Alors avant d’appeler, j’ai consulté le site web de la clinique et j’ai constaté qu’ils emploient des méthodes scientifiquement éprouvées (le FUE et la microgreffe folliculaire). En plus, ça fait deux ans de suite que la clinique est élue Choix du consommateur. J’ai décidé de prendre rendez-vous avec le directeur médical et je vous reparlerai de mon expérience très bientôt!